Détail de l'auteur
Auteur Rubens Born |
Documents disponibles écrits par cet auteur (2)



[article]
Titre : Chine, Inde et Brésil : débat sur les changements climatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Angel Green, Auteur ; Clifford Polycarp, Auteur ; Rubens Born, Auteur ; Mark Lutes, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 57-66 Langues : Français (fre) Mots-clés : Changements climatiques Chine Inde Brésil Développement Résumé : L’Inde, la Chine et le Brésil sont des puissances économiques du Sud à forte croissance. Ces pays « en voie de développement » ne sont toutefois pas contraints, à l’instar des pays riches industrialisés du Nord qui ont signé le Protocole de Kyoto, de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2012. Ils contribuent pourtant au réchauffement climatique, comme ils commencent à pâtir de ses effets négatifs sur l’environnement et les populations. A la différence des émissions de la Chine et de l’Inde qui proviennent pour l’essentiel de la combustion d’énergie fossile, les émissions du Brésil sont d’abord le fait de la déforestation. Le niveau de conscience de l’importance du problème tout comme la mise en œuvre de politiques alternatives varient d’un pays à l’autre - l’Inde apparaissant en la matière en retard sur la Chine et surtout le Brésil - et buttent généralement contre les perspectives à court terme, le modèle de développement dominant, la défense des intérêts nationaux et le respect tout relatif et différencié du Protocole de Kyoto par les pays industrialisés du Nord.
in Alternatives Sud > Vol. 13/2 (Juin 2006) . - p. 57-66[article] Chine, Inde et Brésil : débat sur les changements climatiques [texte imprimé] / Angel Green, Auteur ; Clifford Polycarp, Auteur ; Rubens Born, Auteur ; Mark Lutes, Auteur . - 2023 . - p. 57-66.
Langues : Français (fre)
in Alternatives Sud > Vol. 13/2 (Juin 2006) . - p. 57-66
Mots-clés : Changements climatiques Chine Inde Brésil Développement Résumé : L’Inde, la Chine et le Brésil sont des puissances économiques du Sud à forte croissance. Ces pays « en voie de développement » ne sont toutefois pas contraints, à l’instar des pays riches industrialisés du Nord qui ont signé le Protocole de Kyoto, de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2012. Ils contribuent pourtant au réchauffement climatique, comme ils commencent à pâtir de ses effets négatifs sur l’environnement et les populations. A la différence des émissions de la Chine et de l’Inde qui proviennent pour l’essentiel de la combustion d’énergie fossile, les émissions du Brésil sont d’abord le fait de la déforestation. Le niveau de conscience de l’importance du problème tout comme la mise en œuvre de politiques alternatives varient d’un pays à l’autre - l’Inde apparaissant en la matière en retard sur la Chine et surtout le Brésil - et buttent généralement contre les perspectives à court terme, le modèle de développement dominant, la défense des intérêts nationaux et le respect tout relatif et différencié du Protocole de Kyoto par les pays industrialisés du Nord. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV562999 HOU Périodiques Bibliothèque UCM Revues Consultation sur place
Exclu du prêtRégimes internationaux et politiques de changements climatiques / Rubens Born in Alternatives Sud, Vol. 13/2 (Juin 2006)
[article]
Titre : Régimes internationaux et politiques de changements climatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Rubens Born, Auteur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 21-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Changements climatiques Brésil Protocole de Kyoto Politiques internationales Résumé : Le « Sommet de la terre » de Rio en 1992 et la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) dont il a accouché ont jeté les bases d’un véritable régime multilatéral concernant les changements climatiques. Les objectifs chiffrés de réduction d’émission des gaz à effet de serre n’ont cependant été adoptés qu’en 1997, dans le Protocole de Kyoto, et ne sont entrés en vigueur qu’en 2005. Ces délais sont pour une bonne part le résultat des manoeuvres des Etats-Unis, principal émetteur, mais ils s’expliquent aussi par les vifs débats qui entourent la question : faut-il miser sur des réductions nettes des pays industrialisés ou sur la captation de carbone dans les pays en développement ? Quels doivent être les rôles respectifs des pouvoirs publics et des agents privés ? Etc. Le Brésil s’est imposé comme un des principaux acteurs des négociations internationales. Sur le plan interne cependant, le gouvernement paraît réticent à adopter une véritable politique nationale de changement climatique qui puisse freiner la déforestation et stimuler l’incorporation des objectifs dans les différents domaines de la vie nationale : énergie, logement, transports, etc.
in Alternatives Sud > Vol. 13/2 (Juin 2006) . - p. 21-39[article] Régimes internationaux et politiques de changements climatiques [texte imprimé] / Rubens Born, Auteur . - 2023 . - p. 21-39.
Langues : Français (fre)
in Alternatives Sud > Vol. 13/2 (Juin 2006) . - p. 21-39
Mots-clés : Changements climatiques Brésil Protocole de Kyoto Politiques internationales Résumé : Le « Sommet de la terre » de Rio en 1992 et la Convention cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) dont il a accouché ont jeté les bases d’un véritable régime multilatéral concernant les changements climatiques. Les objectifs chiffrés de réduction d’émission des gaz à effet de serre n’ont cependant été adoptés qu’en 1997, dans le Protocole de Kyoto, et ne sont entrés en vigueur qu’en 2005. Ces délais sont pour une bonne part le résultat des manoeuvres des Etats-Unis, principal émetteur, mais ils s’expliquent aussi par les vifs débats qui entourent la question : faut-il miser sur des réductions nettes des pays industrialisés ou sur la captation de carbone dans les pays en développement ? Quels doivent être les rôles respectifs des pouvoirs publics et des agents privés ? Etc. Le Brésil s’est imposé comme un des principaux acteurs des négociations internationales. Sur le plan interne cependant, le gouvernement paraît réticent à adopter une véritable politique nationale de changement climatique qui puisse freiner la déforestation et stimuler l’incorporation des objectifs dans les différents domaines de la vie nationale : énergie, logement, transports, etc. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV562999 HOU Périodiques Bibliothèque UCM Revues Consultation sur place
Exclu du prêt