Titre : |
Pour réussir à gauche |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Les Gracques (Paris), Auteur |
Editeur : |
Paris : Syros |
Année de publication : |
1983 |
Collection : |
La France des points chauds |
Importance : |
1 vol. (229 p.) |
Présentation : |
couv. ill. |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-86738-004-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Politique et gouvernement France 1981-1995 Socialism Politique économique 1945 Politique sociale |
Résumé : |
La deuxième Gauche ? N’est-elle pas la première ? Les coopératives, les
mutuelles, les sociétés d’entraide sont antérieures à Marx. Et, déjà en 1910,
Édouard Vaillant, proposant l’autogestion des assurances sociales, se heurtait
aux guesdistes, ces « marxistes » français fossilisés... Hier et avant-hier,
l’autogestion a intéressé, mobilisé, passionné même. Dans la France gouvernée
aujourd’hui par la Gauche, où est le projet économique, social et culturel qui
redonne à chacun le goût d’entreprendre, la capacité d’innover et
d’expérimenter ? Des responsables socialistes s’en souviennent : on lisait,
dans les quinze thèses sur l’autogestion : « C’est l’articulation constante
entre le mouvement populaire et l’action gouvernementale, qui sera le moteur
de la transformation sociale ». Aujourd’hui, ils demandent au Parti socialiste
d’être autre chose qu’une machine électorale, de dépasser ce couple infernal
que forment utopie et réalisme ou, pire, utopie et volontarisme. Nous en avons
assez, disent les auteurs groupés sous le pseudonyme des Gracques, de rêver
avec Marx et de gouverner comme le faisait Schmitt ! Pour que le changement
réussisse, quarante-trois acteurs ne suffisent pas... |
Pour réussir à gauche [texte imprimé] / Les Gracques (Paris), Auteur . - Paris : Syros, 1983 . - 1 vol. (229 p.) : couv. ill. ; 19 cm. - ( La France des points chauds) . ISBN : 978-2-86738-004-4 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Politique et gouvernement France 1981-1995 Socialism Politique économique 1945 Politique sociale |
Résumé : |
La deuxième Gauche ? N’est-elle pas la première ? Les coopératives, les
mutuelles, les sociétés d’entraide sont antérieures à Marx. Et, déjà en 1910,
Édouard Vaillant, proposant l’autogestion des assurances sociales, se heurtait
aux guesdistes, ces « marxistes » français fossilisés... Hier et avant-hier,
l’autogestion a intéressé, mobilisé, passionné même. Dans la France gouvernée
aujourd’hui par la Gauche, où est le projet économique, social et culturel qui
redonne à chacun le goût d’entreprendre, la capacité d’innover et
d’expérimenter ? Des responsables socialistes s’en souviennent : on lisait,
dans les quinze thèses sur l’autogestion : « C’est l’articulation constante
entre le mouvement populaire et l’action gouvernementale, qui sera le moteur
de la transformation sociale ». Aujourd’hui, ils demandent au Parti socialiste
d’être autre chose qu’une machine électorale, de dépasser ce couple infernal
que forment utopie et réalisme ou, pire, utopie et volontarisme. Nous en avons
assez, disent les auteurs groupés sous le pseudonyme des Gracques, de rêver
avec Marx et de gouverner comme le faisait Schmitt ! Pour que le changement
réussisse, quarante-trois acteurs ne suffisent pas... |
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