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Auteur Laurent Mucchielli (1968-....) |
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Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche Interroger des sources externesAux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) · / Laurent Mucchielli in Revue de synthèse, 116 (Jan-Mars 1995)
Titre : Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) · Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.55-98 Langues : Français (fre) Mots-clés : historiographie École méthodique (historiographie) Résumé : Marqué à juste titre par le mouvement des Annales, l'historiographie française a intériorisé l'idée qu'avant 1929 dominait ce que Henri Berr avait stigmatisé sous le nom d’histoire traditionnelle":une histoire politique et individualiste ne tenant pas compte des déterminations collectives, sociales ou mentales. La fameuse introduction aux études historiques de Langlois et Seignobos(1898) serait l'expression de ce "positivisme" qu'aurait initié Gabriel Monod, fondateur de la revue historique en 1876. Cette vision traditionnelle de l'histoire de la discipline est globalement remise en cause dans cet article qui montre que les années 1870-1930 sont au contraire un moment central dans l'historiographie tant au plan institutionnel qu'au plan intellectuel, qui nous intéresse surtout ici. C'est en effet dès cette époque que s'est cristallisée l'aspiration à faire de l'histoire une science sociales. Les années 1890-1914 voient même se développer fortement une histoire économique et une histoire sociale. 1929 apparaît alors moins comme une accélération dans une direction déjà marquée. Note de contenu : I.Une histoire "positive"
II.L'histoire prise dans le champ des sciences sociales à la fi, du XIX ème siècle.
III.L'aspiration nouvelle à une science de l'histoire
IV. Questions générales sur l'émergence de la nouvelle histoire en France à la fin du XIXème siècle
in Revue de synthèse > 116 (Jan-Mars 1995) . - p.55-98[article] Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) · [texte imprimé] / Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur . - 2021 . - p.55-98.
Langues : Français (fre)
in Revue de synthèse > 116 (Jan-Mars 1995) . - p.55-98
Mots-clés : historiographie École méthodique (historiographie) Résumé : Marqué à juste titre par le mouvement des Annales, l'historiographie française a intériorisé l'idée qu'avant 1929 dominait ce que Henri Berr avait stigmatisé sous le nom d’histoire traditionnelle":une histoire politique et individualiste ne tenant pas compte des déterminations collectives, sociales ou mentales. La fameuse introduction aux études historiques de Langlois et Seignobos(1898) serait l'expression de ce "positivisme" qu'aurait initié Gabriel Monod, fondateur de la revue historique en 1876. Cette vision traditionnelle de l'histoire de la discipline est globalement remise en cause dans cet article qui montre que les années 1870-1930 sont au contraire un moment central dans l'historiographie tant au plan institutionnel qu'au plan intellectuel, qui nous intéresse surtout ici. C'est en effet dès cette époque que s'est cristallisée l'aspiration à faire de l'histoire une science sociales. Les années 1890-1914 voient même se développer fortement une histoire économique et une histoire sociale. 1929 apparaît alors moins comme une accélération dans une direction déjà marquée. Note de contenu : I.Une histoire "positive"
II.L'histoire prise dans le champ des sciences sociales à la fi, du XIX ème siècle.
III.L'aspiration nouvelle à une science de l'histoire
IV. Questions générales sur l'émergence de la nouvelle histoire en France à la fin du XIXème siècleRéservation
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Titre : Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) Laurent MUCCHIELLI Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.55-98 · Langues : Français (fre) Mots-clés : Méthode historique Histoire ancienne -- Historiographie revue historique Résumé : Marquée à juste titre par le mouvement des Annales, l'historiographie française a intériorisé l'idée qu'avant 1929 dominait ce que Henri Berr avait stigmatisé sous le nom d'"histoire traditionnelle": Une histoire politique et individualiste ne tenant pas compte des déterminations collectives, sociales ou mentales. La fameuse Introduction aux études historiques de Langlois et Seignobos (1898) serait l'expression de ce "positivisme" qu'aurait initié Gabriel Monod, fondateur de la Revue historique en 1876. Cette vision traditionnelle de l'histoire de la discipline est globalement remise en cause dans cet articles qui montre que les années (1870-1930 sont au contraire un moment central dans l'historiographie tant au plan institutionnel qu'au plan intéllectuel, qui nous intéresse surtout ici. C'est en ffet dès cette époque que s'ent cristallisée l'aspiration à faire de l'histoire une science sociale, ce qui se comprend aisément dès lors qu'on contextualise cette histoire et que l'on replace cette discipline dans l'ensemble du champ des sciences sociales. Les années 1890-1914 voient même se développer fortement une histoire économique et une accélération dans une direction déjà marquée. Note de contenu : Une histoire "positive".
L'histoire prise dans le champ des sciences sociales à la fin du XIXème siècle.
L'aspirationnouvelle à une science de l'histoire
IV:Questions générales sur l'émergence de la nouvelle histoire en france à la fin du XIXème siècle
in Revue de synthèse > 116 (Jan-Mars 1995) . - p.55-98 ·[article] Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) Aux origines de la Nouvelle Histoire en France: l’évolution intellectuelle et la formation du champ des sciences sociales (1880–1930) Laurent MUCCHIELLI [texte imprimé] / Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur . - 2021 . - p.55-98 ·.
Langues : Français (fre)
in Revue de synthèse > 116 (Jan-Mars 1995) . - p.55-98 ·
Mots-clés : Méthode historique Histoire ancienne -- Historiographie revue historique Résumé : Marquée à juste titre par le mouvement des Annales, l'historiographie française a intériorisé l'idée qu'avant 1929 dominait ce que Henri Berr avait stigmatisé sous le nom d'"histoire traditionnelle": Une histoire politique et individualiste ne tenant pas compte des déterminations collectives, sociales ou mentales. La fameuse Introduction aux études historiques de Langlois et Seignobos (1898) serait l'expression de ce "positivisme" qu'aurait initié Gabriel Monod, fondateur de la Revue historique en 1876. Cette vision traditionnelle de l'histoire de la discipline est globalement remise en cause dans cet articles qui montre que les années (1870-1930 sont au contraire un moment central dans l'historiographie tant au plan institutionnel qu'au plan intéllectuel, qui nous intéresse surtout ici. C'est en ffet dès cette époque que s'ent cristallisée l'aspiration à faire de l'histoire une science sociale, ce qui se comprend aisément dès lors qu'on contextualise cette histoire et que l'on replace cette discipline dans l'ensemble du champ des sciences sociales. Les années 1890-1914 voient même se développer fortement une histoire économique et une accélération dans une direction déjà marquée. Note de contenu : Une histoire "positive".
L'histoire prise dans le champ des sciences sociales à la fin du XIXème siècle.
L'aspirationnouvelle à une science de l'histoire
IV:Questions générales sur l'émergence de la nouvelle histoire en france à la fin du XIXème siècleExemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Quand les banlieues brûlent (2006)
Titre : Quand les banlieues brûlent : Retour sur les émeutes de novembre 2005 Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Mucchielli (1968-....), Directeur de publication ; Véronique Le Goaziou (1963-....), Directeur de publication Editeur : Paris : Éditions La Découverte Année de publication : 2006 Collection : Sur le vif Importance : 1 vol. (155 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-4855-1 Note générale : Notice rédigée d'après la consultation du 2007-12-19. - L'impression génère 223 p.. - Titre provenant de l'écran-titre. - Date de publication du document original. - Numérisation de l'édition de Paris : La Découverte, 2006. - L'accès complet à cette ressource est réservé aux usagers des établissements qui en ont fait l'acquisition Langues : Français (fre) Mots-clés : Intégration sociale -- France -- 1990-2020
France -- 2005 (Émeutes)
Violence urbaine -- France -- 1990-2020
Banlieues -- France -- 1990-2020Résumé : En novembre 2005, une émeute d'une ampleur sans précédent dans l'histoire contemporaine de la France a été gérée politiquement de façon désastreuse : le " retour au calme " est aussi un retour à toutes les difficultés de la vie ordinaire pour les habitants des quartiers populaires. C'est pourquoi des sociologues de terrain ont voulu analyser ces événements et ce qu'ils révèlent de l'état de la société française. Le livre montre notamment le rôle joué par Nicolas Sarkozy, pompier pyromane, dans le développement de l'émeute. Il révèle aussi que la première personnalité politique à demander la mise en place de l'état d'urgence fut... Marine Le Pen. Contre les idées reçues, et notamment celle que ces émeutes furent le fait de jeunes instrumentalisés par des " caïds ", des " barbus " ou des rappeurs, les auteurs montrent enfin que nombre d'habitants des quartiers ont témoigné d'une forme de solidarité avec les jeunes émeutiers. Au-delà de l'événement, le livre soulève un certain nombre de questions essentielles : pourquoi l'école n'est-elle plus perçue par une partie de la population comme un lieu de promotion sociale, mais d'échecs et d'humiliations ? Quelle est la situation sociale et économique réelle des habitants des quartiers, en particulier les jeunes ? Pourquoi la façon dont la police remplit ses missions dans les quartiers " sensibles " est devenue un problème plus qu'une solution ? Quand les banlieues brûlent : Retour sur les émeutes de novembre 2005 [texte imprimé] / Laurent Mucchielli (1968-....), Directeur de publication ; Véronique Le Goaziou (1963-....), Directeur de publication . - Paris : Éditions La Découverte, 2006 . - 1 vol. (155 p.) : couv. ill. en coul. ; 19 cm. - (Sur le vif) .
ISBN : 978-2-7071-4855-1
Notice rédigée d'après la consultation du 2007-12-19. - L'impression génère 223 p.. - Titre provenant de l'écran-titre. - Date de publication du document original. - Numérisation de l'édition de Paris : La Découverte, 2006. - L'accès complet à cette ressource est réservé aux usagers des établissements qui en ont fait l'acquisition
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Intégration sociale -- France -- 1990-2020
France -- 2005 (Émeutes)
Violence urbaine -- France -- 1990-2020
Banlieues -- France -- 1990-2020Résumé : En novembre 2005, une émeute d'une ampleur sans précédent dans l'histoire contemporaine de la France a été gérée politiquement de façon désastreuse : le " retour au calme " est aussi un retour à toutes les difficultés de la vie ordinaire pour les habitants des quartiers populaires. C'est pourquoi des sociologues de terrain ont voulu analyser ces événements et ce qu'ils révèlent de l'état de la société française. Le livre montre notamment le rôle joué par Nicolas Sarkozy, pompier pyromane, dans le développement de l'émeute. Il révèle aussi que la première personnalité politique à demander la mise en place de l'état d'urgence fut... Marine Le Pen. Contre les idées reçues, et notamment celle que ces émeutes furent le fait de jeunes instrumentalisés par des " caïds ", des " barbus " ou des rappeurs, les auteurs montrent enfin que nombre d'habitants des quartiers ont témoigné d'une forme de solidarité avec les jeunes émeutiers. Au-delà de l'événement, le livre soulève un certain nombre de questions essentielles : pourquoi l'école n'est-elle plus perçue par une partie de la population comme un lieu de promotion sociale, mais d'échecs et d'humiliations ? Quelle est la situation sociale et économique réelle des habitants des quartiers, en particulier les jeunes ? Pourquoi la façon dont la police remplit ses missions dans les quartiers " sensibles " est devenue un problème plus qu'une solution ? Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV555993 A18b MUC Livre Bibliothèque UCM Sociologie politique Libre accès
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Titre : Sociologie et psychologie en France, l'appel à un terroire commun: Vers une psychologie collective (1890-1940) Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur Année de publication : 2021 Article en page(s) : p.445-476 Langues : Français (fre)
in Revue de synthèse > Tome CXV (Juillet-Décembre 1994) . - p.445-476[article] Sociologie et psychologie en France, l'appel à un terroire commun: Vers une psychologie collective (1890-1940) [texte imprimé] / Laurent Mucchielli (1968-....), Auteur . - 2021 . - p.445-476.
Langues : Français (fre)
in Revue de synthèse > Tome CXV (Juillet-Décembre 1994) . - p.445-476Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV557754 XXI4bCHA Livre Bibliothèque UCM Psychologie Libre accès
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