Titre : |
Fraternité et Révolution française : 1789-1799 |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marcel David (1920-2011), Auteur |
Editeur : |
Paris : Aubier |
Année de publication : |
1987 |
Collection : |
Collection historique, ISSN 0154-957X num. 36 |
Importance : |
1 vol. (350 p.-[16] p. de pl.) |
Présentation : |
couv. ill. en coul. |
Format : |
22 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7007-2211-6 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Relations humaines -- 18e siècle
Fraternité -- 18e siècle
Conditions sociales -- France -- 1789-1815
Idées politiques -- France -- 1789-1815
Morale politique -- France -- 1789-1815
Mouvement des Lumières
Patriotisme -- France -- 18e siècle
Equality -- France -- History -- 18th century
Patriotism -- France -- History -- 18th century
Social structure -- France -- History -- 18th century
Enlightenment
Relations humaines -- 18e siècle
Fraternité -- 18e siècle
Conditions sociales -- France -- 1789-1815
Politique et gouvernement -- France -- 1789-1799
France -- Politics and government -- Revolution, 1789-1799
France -- Intellectual life -- 18th century
France -- 1789-1799 (Révolution) |
Résumé : |
La fraternité,durant la Révolution française,passe pour être du genre de celle dont Caïn usa à l'encontre d'Abel:"sois mon frère ou je te tue". Sa complicité avec la mort fut-elle servi qu'à susciter le recours à la violence et, durant la Terreur, à l'échafaud? Ou bien fut--elle un simple sentiment, dénué de tout caractère d'obligation et n'ayant d'autre portée pratique qu'une incitation à se congratuler les jours de fête? On ne saurait s'en tenir à cette alternative réductrice. La fraternité requiert d'être analysée de façon plus complexe. Quelles relations entre-tient-elle avec la liberté, l'égalité, l'unité et l'indivisibilité de la République? Pour être un sentiment, ne relève-t-elle pas aussi d'une vertu, d'un devoir, et de même d'un principe politique, voire juridique?Dès lors que sa visée à long terme se double de moyens concrets d'application immédiate, qu'est-ce qui la différencie de la fraternisation? A toutes ces questions,le présent ouvrage apporte des réponses diversifiées en fonction des phrases de la Révolution, des structures de la société, des acteurs et des enjeux politiques des modes de représentation et de croyance, de l'interaction des idées et des mentalités. Il contribue à la compréhension des rebondissements que la fraternité connaîtra, de 1848 à nos jours, dans le devenir des principes fondamentaux de la République démocratique. |
Fraternité et Révolution française : 1789-1799 [texte imprimé] / Marcel David (1920-2011), Auteur . - Paris : Aubier, 1987 . - 1 vol. (350 p.-[16] p. de pl.) : couv. ill. en coul. ; 22 cm. - ( Collection historique, ISSN 0154-957X; 36) . ISBN : 978-2-7007-2211-6 Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Relations humaines -- 18e siècle
Fraternité -- 18e siècle
Conditions sociales -- France -- 1789-1815
Idées politiques -- France -- 1789-1815
Morale politique -- France -- 1789-1815
Mouvement des Lumières
Patriotisme -- France -- 18e siècle
Equality -- France -- History -- 18th century
Patriotism -- France -- History -- 18th century
Social structure -- France -- History -- 18th century
Enlightenment
Relations humaines -- 18e siècle
Fraternité -- 18e siècle
Conditions sociales -- France -- 1789-1815
Politique et gouvernement -- France -- 1789-1799
France -- Politics and government -- Revolution, 1789-1799
France -- Intellectual life -- 18th century
France -- 1789-1799 (Révolution) |
Résumé : |
La fraternité,durant la Révolution française,passe pour être du genre de celle dont Caïn usa à l'encontre d'Abel:"sois mon frère ou je te tue". Sa complicité avec la mort fut-elle servi qu'à susciter le recours à la violence et, durant la Terreur, à l'échafaud? Ou bien fut--elle un simple sentiment, dénué de tout caractère d'obligation et n'ayant d'autre portée pratique qu'une incitation à se congratuler les jours de fête? On ne saurait s'en tenir à cette alternative réductrice. La fraternité requiert d'être analysée de façon plus complexe. Quelles relations entre-tient-elle avec la liberté, l'égalité, l'unité et l'indivisibilité de la République? Pour être un sentiment, ne relève-t-elle pas aussi d'une vertu, d'un devoir, et de même d'un principe politique, voire juridique?Dès lors que sa visée à long terme se double de moyens concrets d'application immédiate, qu'est-ce qui la différencie de la fraternisation? A toutes ces questions,le présent ouvrage apporte des réponses diversifiées en fonction des phrases de la Révolution, des structures de la société, des acteurs et des enjeux politiques des modes de représentation et de croyance, de l'interaction des idées et des mentalités. Il contribue à la compréhension des rebondissements que la fraternité connaîtra, de 1848 à nos jours, dans le devenir des principes fondamentaux de la République démocratique. |
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