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Titre : Aegidii Romani Theoremata de Esse et Essentia : Texte précédé d'une introduction historique et critique Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles de Rome (1247?-1316), Auteur ; Edgar Hocedez (1877-1948), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1930 Collection : Museum Lessianum section philosophique num. 12 Importance : 1 vol. (XIV-129;189 p.) Présentation : couv.en coul. Format : 23 cm Langues : Latin (lat) Langues originales : Latin (lat) Aegidii Romani Theoremata de Esse et Essentia : Texte précédé d'une introduction historique et critique [texte imprimé] / Gilles de Rome (1247?-1316), Auteur ; Edgar Hocedez (1877-1948), Préfacier, etc. . - Paris : Desclée de Brouwer, 1930 . - 1 vol. (XIV-129;189 p.) : couv.en coul. ; 23 cm. - (Museum Lessianum section philosophique; 12) .
Langues : Latin (lat) Langues originales : Latin (lat)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV500914 XII2c AEG Livre Bibliothèque UCM Philosophie médiévale Libre accès
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Titre : Approche contemporaine d'une affirmation de Dieu : Essai sur le fondement ultime de l'acte scientifique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Dominique Robert (1910-...), Auteur ; Dominique Dubarle (1907-1987), Préfacier, etc. Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1962 Collection : Museum Lessianum section philosophique num. 50 Importance : 1 vol. (250 p.) Format : 23 cm Langues : Français (fre) Résumé : Seule valeur œcuménique aujourd'hui, la science peut-elle fournir à l'esprit humain un point de départ efficace vers Dieu? Telle est la question que pose le P. Robert, et il montre tout d'abord qu'une réflexion d'ordre épistémologique et métaphysique s’exerçant sur la science - pour en justifier les démarches et les présupposés essentiels - peut conduire progressivement un esprit scientifique jusqu'à l'Esprit divin.
Une longue enquête laisse apparaître que le labeur scientifique se reconnaît lié par des "nécessités intelligibles" assurant sa cohérence interne et sa continuité et qu'il attribue aux vérités couronnant son effort une valeur qu'aucun savant ne saurait revendiquer pour son bien exclusif, autrement dit, une valeur s'imposant à tous. Or les attributs essentiels de la vérité scientifique, c'est-à-dire son unité et sa nécessité, réclament un fondement qui ne peut être trouvé dans la multiplicité des esprits contingents qui construisent la science. Il faut donc en arriver à poser un garant ultime et absolu des attributs en question, c'est-à-dire un Dieu de vérité.
Comment nier l'intérêt et la nouveauté d'une telle argumentation? Elle est actuelle puisque son point de départ n'est autre que la science et la philosophie des sciences aujourd'hui en honneur, elle est de type existentiel puisqu'elle repose sur l'analyse réflexive des implications de l'acte même qui engendre nos vérités scientifiques. Enfin, elle est de nature "intrinséciste" et, par là même, échappe radicalement aux objections faites, à tort ou à raison, aux preuves fondées sur le mouvement ou la finalité inhérentes au monde matériel.
C'est de l'intérieur même des perspectives qu'elle se donne que l'auteur s'efforce de manifester les embarras auxquels se heurte toute interprétation idéaliste de l'acte scientifique. Il le fait plus spécialement à la lumière de deux cas contemporains particulièrement révélateurs: celui de Brunschvicg et celui de Husserl. Il n'est pas jusqu'à certaines positions l'existentialisme
(Merleau-Ponty, Sartre) qu'il ne considère.
Cette étude parvient ainsi à équilibrer, sans les détruire l'un par l'autre, le souci du dialogue et les droits de la vérité.
Approche contemporaine d'une affirmation de Dieu : Essai sur le fondement ultime de l'acte scientifique [texte imprimé] / Jean-Dominique Robert (1910-...), Auteur ; Dominique Dubarle (1907-1987), Préfacier, etc. . - Paris : Desclée de Brouwer, 1962 . - 1 vol. (250 p.) ; 23 cm. - (Museum Lessianum section philosophique; 50) .
Langues : Français (fre)
Résumé : Seule valeur œcuménique aujourd'hui, la science peut-elle fournir à l'esprit humain un point de départ efficace vers Dieu? Telle est la question que pose le P. Robert, et il montre tout d'abord qu'une réflexion d'ordre épistémologique et métaphysique s’exerçant sur la science - pour en justifier les démarches et les présupposés essentiels - peut conduire progressivement un esprit scientifique jusqu'à l'Esprit divin.
Une longue enquête laisse apparaître que le labeur scientifique se reconnaît lié par des "nécessités intelligibles" assurant sa cohérence interne et sa continuité et qu'il attribue aux vérités couronnant son effort une valeur qu'aucun savant ne saurait revendiquer pour son bien exclusif, autrement dit, une valeur s'imposant à tous. Or les attributs essentiels de la vérité scientifique, c'est-à-dire son unité et sa nécessité, réclament un fondement qui ne peut être trouvé dans la multiplicité des esprits contingents qui construisent la science. Il faut donc en arriver à poser un garant ultime et absolu des attributs en question, c'est-à-dire un Dieu de vérité.
Comment nier l'intérêt et la nouveauté d'une telle argumentation? Elle est actuelle puisque son point de départ n'est autre que la science et la philosophie des sciences aujourd'hui en honneur, elle est de type existentiel puisqu'elle repose sur l'analyse réflexive des implications de l'acte même qui engendre nos vérités scientifiques. Enfin, elle est de nature "intrinséciste" et, par là même, échappe radicalement aux objections faites, à tort ou à raison, aux preuves fondées sur le mouvement ou la finalité inhérentes au monde matériel.
C'est de l'intérieur même des perspectives qu'elle se donne que l'auteur s'efforce de manifester les embarras auxquels se heurte toute interprétation idéaliste de l'acte scientifique. Il le fait plus spécialement à la lumière de deux cas contemporains particulièrement révélateurs: celui de Brunschvicg et celui de Husserl. Il n'est pas jusqu'à certaines positions l'existentialisme
(Merleau-Ponty, Sartre) qu'il ne considère.
Cette étude parvient ainsi à équilibrer, sans les détruire l'un par l'autre, le souci du dialogue et les droits de la vérité.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV523594 X9 ROB Livre Bibliothèque UCM Philosophie Libre accès
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Titre : Certitude et volonté Type de document : texte imprimé Auteurs : Joseph Lebacqz, Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1962 Collection : Museum Lessianum section philosophique num. 49 Importance : 1 vol. (182 p.) Format : 23 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Certitude
VolontéRésumé : Le seul moyen de parvenir à une authentique certitude n'est-il pas de s'engager, par un acte libre d'acquiescement, à l'égard de la vérité proposée? Mais avoir conscience de se déterminer soi-même à l'affirmation n'est-ce pas reconnaître que cet acte, en tant que soumis au bon plaisir de la volonté, est dépourvu de tout caractère d'absolu et donc de toute valeur de vraie certitude? Prise à part, chacune des deux propositions paraît s'imposer sans conteste. Rapprochées l'une de l'autre, elles semblent se détruire mutuellement. Serait-il possible de surmonter leur antagonisme et de dissiper ainsi les obscurités que d'âpres discussions ont élevées autour de la notion de certitude? Tel est le problème fondamental que s'attache à résoudre le présent ouvrage.
L'auteur, professeur de philosophie à Heythrop College (Angleterre), avait déjà eu l'occasion, dans un livre précédent, d'affronter une question similaire à propos du libre arbitre. Recourant ici encore à la doctrine dynamique de l'agir humain qui lui avait permis alors d'expliquer la présence d'un jugement au sein de l'acte libre, il se voit en mesure d'aborder sous un angle nouveau le problème de la certitude et d'en concilier les deux données apparemment irréductibles: caractère absolu de la certitude spéculative, rôle joué par l'acte libre dans toute certitude personnelle.
D'autres questions, en rapport plus ou moins étroit avec celle de la certitude, sont également rencontrées en cours de route: nature de l'opinion, de la certitude morale et de la certitude pratique, justification de la foi au témoignage, connaissance par connaturalité, signification du «cœur» pascalien et de 1'«Illative Sense» de Newman. Ces différentes démarches, dont l'influence paraît décisive dans toute vie humaine, ne reçoivent, dans la plupart des traités de philosophie, qu'une mention fort brève et tout occasionnelle; à la manière de blocs erratiques laissés à dessein dans l'ombre pour ne pas compromettre la cohésion et l'harmonie de l'ensemble. On pressent par là l'intérêt d'un exposé qui leur consacre enfin une étude approfondie et où une solution compréhensive tente de les intégrer organiquement à une doctrine générale de l'agir humain.Certitude et volonté [texte imprimé] / Joseph Lebacqz, Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 1962 . - 1 vol. (182 p.) ; 23 cm. - (Museum Lessianum section philosophique; 49) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Certitude
VolontéRésumé : Le seul moyen de parvenir à une authentique certitude n'est-il pas de s'engager, par un acte libre d'acquiescement, à l'égard de la vérité proposée? Mais avoir conscience de se déterminer soi-même à l'affirmation n'est-ce pas reconnaître que cet acte, en tant que soumis au bon plaisir de la volonté, est dépourvu de tout caractère d'absolu et donc de toute valeur de vraie certitude? Prise à part, chacune des deux propositions paraît s'imposer sans conteste. Rapprochées l'une de l'autre, elles semblent se détruire mutuellement. Serait-il possible de surmonter leur antagonisme et de dissiper ainsi les obscurités que d'âpres discussions ont élevées autour de la notion de certitude? Tel est le problème fondamental que s'attache à résoudre le présent ouvrage.
L'auteur, professeur de philosophie à Heythrop College (Angleterre), avait déjà eu l'occasion, dans un livre précédent, d'affronter une question similaire à propos du libre arbitre. Recourant ici encore à la doctrine dynamique de l'agir humain qui lui avait permis alors d'expliquer la présence d'un jugement au sein de l'acte libre, il se voit en mesure d'aborder sous un angle nouveau le problème de la certitude et d'en concilier les deux données apparemment irréductibles: caractère absolu de la certitude spéculative, rôle joué par l'acte libre dans toute certitude personnelle.
D'autres questions, en rapport plus ou moins étroit avec celle de la certitude, sont également rencontrées en cours de route: nature de l'opinion, de la certitude morale et de la certitude pratique, justification de la foi au témoignage, connaissance par connaturalité, signification du «cœur» pascalien et de 1'«Illative Sense» de Newman. Ces différentes démarches, dont l'influence paraît décisive dans toute vie humaine, ne reçoivent, dans la plupart des traités de philosophie, qu'une mention fort brève et tout occasionnelle; à la manière de blocs erratiques laissés à dessein dans l'ombre pour ne pas compromettre la cohésion et l'harmonie de l'ensemble. On pressent par là l'intérêt d'un exposé qui leur consacre enfin une étude approfondie et où une solution compréhensive tente de les intégrer organiquement à une doctrine générale de l'agir humain.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV523573 X6 LEB Livre Bibliothèque UCM Philosophie Libre accès
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Titre : Genèse de l'Action : Blondel 1882-1893 Type de document : texte imprimé Auteurs : Saint-Jean, Raymond (192. -2011), Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1965 Collection : Museum Lessianum section philosophique num. 52 Importance : 1 vol. (260 p.) Format : 23 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Blondel, Maurice (1861-1949). L'action Genèse de l'Action : Blondel 1882-1893 [texte imprimé] / Saint-Jean, Raymond (192. -2011), Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 1965 . - 1 vol. (260 p.) ; 23 cm. - (Museum Lessianum section philosophique; 52) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Blondel, Maurice (1861-1949). L'action Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV511978 XIIIA16 SAI Livre Bibliothèque UCM Philosophie Libre accès
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Titre : L'homme dans le monde : La connaissance humaine et sa valeur Type de document : texte imprimé Auteurs : Auguste Etcheverry (1892-1978), Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1963 Collection : Museum Lessianum section philosophique num. 51 Importance : 1 vol. (306 p.) Format : 23 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Philosophie de l'homme Résumé : Depuis Descartes et surtout après Kant, le problème de la connaissance a pris une telle importance qu'il tendait à confisquer l'attention des philosophes. Aujourd'hui encore, malgré les apparences, les solutions adoptées en Critique commandent implicitement l'orientation de la Métaphysique, chez la plupart des penseurs contemporains. De là naît leur importance. Et cependant les ouvrages récents, directement centrés sur la valeur de la connaissance, sont peu nombreux. Les œuvres de Brunschvicg, Hamelin, Meyerson d'une part, celles de Maréchal, Roland-Gosselin, Mercier, Noël, J. Maritain etc., d'autre part sont antérieures à l'année 40. Depuis lors de nouvelles attitudes ont surgi, qui invitent à certains changements de perspective. C'est pourquoi l'étude du R. P. Etcheverry fait écho à la pensée de Husserl, Merleau-Ponty, J-P. Sartre, Le Senne ou G. Marcel. Pour illustrer la théorie thomiste du jugement et de la réflexion intellectuelle, il se réfère à l'analyse réflexive, telle que la décrivent Lavelle, Madinier, Marc ou A. Forest.
Au lieu d'entreprendre un tour d'horizon qui embrasserait les problèmes soulevés par les divers modes de connaissance (sensible, intellectuelle, morale, scientifique, etc ... ) pour en déterminer la portée, l'auteur s'en tient au problème critique fondamental et à la valeur de la connaissance en général. Après avoir dégagé les antinomies de la pensée et la place du doute dans la vie de l'esprit, il tend à établir la vérité et la portée ontologique du savoir humain. Auparavant il prend parti dans la controverse, relative à l'attitude à adopter au seuil de la critique: doute réel ou fictif? ou bien contrôle et vérification? Dans sa thèse de doctorat ès lettres sur l'idéalisme français contemporain et dans son livre sur Le conflit actuel des humanismes, le R. P. Etcheverry envisageait la pensée moderne d'un point de vue historique surtout, Sans renoncer à cette méthode, c'est une solution positive du problème critique qu'il propose ici.L'homme dans le monde : La connaissance humaine et sa valeur [texte imprimé] / Auguste Etcheverry (1892-1978), Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 1963 . - 1 vol. (306 p.) ; 23 cm. - (Museum Lessianum section philosophique; 51) .
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Philosophie de l'homme Résumé : Depuis Descartes et surtout après Kant, le problème de la connaissance a pris une telle importance qu'il tendait à confisquer l'attention des philosophes. Aujourd'hui encore, malgré les apparences, les solutions adoptées en Critique commandent implicitement l'orientation de la Métaphysique, chez la plupart des penseurs contemporains. De là naît leur importance. Et cependant les ouvrages récents, directement centrés sur la valeur de la connaissance, sont peu nombreux. Les œuvres de Brunschvicg, Hamelin, Meyerson d'une part, celles de Maréchal, Roland-Gosselin, Mercier, Noël, J. Maritain etc., d'autre part sont antérieures à l'année 40. Depuis lors de nouvelles attitudes ont surgi, qui invitent à certains changements de perspective. C'est pourquoi l'étude du R. P. Etcheverry fait écho à la pensée de Husserl, Merleau-Ponty, J-P. Sartre, Le Senne ou G. Marcel. Pour illustrer la théorie thomiste du jugement et de la réflexion intellectuelle, il se réfère à l'analyse réflexive, telle que la décrivent Lavelle, Madinier, Marc ou A. Forest.
Au lieu d'entreprendre un tour d'horizon qui embrasserait les problèmes soulevés par les divers modes de connaissance (sensible, intellectuelle, morale, scientifique, etc ... ) pour en déterminer la portée, l'auteur s'en tient au problème critique fondamental et à la valeur de la connaissance en général. Après avoir dégagé les antinomies de la pensée et la place du doute dans la vie de l'esprit, il tend à établir la vérité et la portée ontologique du savoir humain. Auparavant il prend parti dans la controverse, relative à l'attitude à adopter au seuil de la critique: doute réel ou fictif? ou bien contrôle et vérification? Dans sa thèse de doctorat ès lettres sur l'idéalisme français contemporain et dans son livre sur Le conflit actuel des humanismes, le R. P. Etcheverry envisageait la pensée moderne d'un point de vue historique surtout, Sans renoncer à cette méthode, c'est une solution positive du problème critique qu'il propose ici.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV523617 X6 ETC Livre Bibliothèque UCM Philosophie Libre accès
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