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Vol.LXXVI/4 - Octobre-Novembre-Décembre 2021-4 - Pour une culture de la synodalité missionnaire [texte imprimé] / François Xavier Amherdt (1957-....), Directeur de publication . - 2022 . - 1 Vol. ( 480 p.) : couv.ill.en coul ; 24 cm. Langues : Français (fre) |
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Titre : Éditorial :Pour une synodalité missionnaire Type de document : texte imprimé Auteurs : François Xavier Amherdt (1957-....), Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.367 - 370 Langues : Français (fre) Note de contenu : a synodalité ? Un effet de mode, passager selon certains. Qui va s’estomper lorsque l’actuel souverain pontife aura achevé sa course.
2
En s’inscrivant dans le vaste processus de préparation mondiale catholique voulu par le pape François en vue du Synode des évêques consacré à cette thématique et finalement déplacé à octobre 2023 à Rome, le présent numéro souhaite établir que l’Église est synodale, ou elle n’est pas fidèle à son essence. Et que la synodalité, bien au-delà des seules questions de structure et de fonctionnement — qui ont bien sûr leur importance — constitue une caractéristique fondamentale de l’Église, pour son rayonnement missionnaire au service de la joie de l’Évangile. Le titre même de l’assemblée des évêques le signale très clairement : « Pour une Église synodale : communion, participation et mission ».
3
Dans son indispensable contribution liminaire, Rossano Sala (UP salésienne, Rome), consulteur du Secrétariat général du Synode des évêques, invite à étudier le document de la Commission théologique internationale (CTI) de mars 2018, intitulé La synodalité dans la vie et la mission de l’Église, en guise de « carte de navigation » pour toute la phase préparatoire de la 16e Assemblée générale du Synode de 2023 et au-delà, en complémentarité avec la future (probable) exhortation apostolique post-synodale (« Un excellent point de départ : invitation à la lecture d’un récent document sur la synodalité »).
4
Il s’agit ensuite de dégager le paradigme scripturaire de la synodalité, sans le réduire à des processus démocratiques ou managériaux (Luc Forestier, Institut catholique de Paris). Outre l’assemblée de Jérusalem (Actes 15) et les premiers lieux de dialogue de l’Église primitive, c’est la genèse du canon des Écritures qui fournit l’exemple le plus probant et original d’une synodalité effective (« “Ecclesia peregrinans”. La nature biblique de la synodalité »).
5
La synodalité et la participation des baptisés ne peuvent rester de simples leitmotivs et slogans extérieurs. C’est si elles sont réellement exercées et mises en œuvre sans la crainte de changements ainsi occasionnés qu’elles peuvent devenir le « style » intérieur de l’auto-compréhension ecclésiale. Salvatore Loiero (Faculté de théologie de Fribourg) plaide pour des processus effectifs d’apprentissage synodaux et participatifs, de manière à déployer une Église crédible, signe de la Bonne Nouvelle du « Dieu très humain », comme le dit Edward Schillebeeckx (« Synodalité et participation. Possibles réalités ou réelles possibilités de l’Église »).
6
Dans une perspective phénoménologique et anthropologique prometteuse, Salvatore Currò (UP salésienne, Rome) met l’accent sur la préposition « avec » du terme sun-odos. Comme dans le mot même de « syn-ode », l’« avec » nous précède au niveau existentiel, sensible et corporel comme provocation continuelle à la réconciliation avec les autres, avec soi-même et avec Dieu. Nous y répondons par une pratique de l’action de grâce, de l’abandon et de la confiance qui précèdent l’activité. D’où la nécessité de cheminer ensemble, de « syn-oder », pour relever ce défi humain, culturel et ecclésial (« Le défi de l’“avec” ou la pratique de “syn-oder” »).
7
Fort de sa double expérience en tant qu’expert lors des Synodes de 2015 et de 2018, l’ancien recteur de l’Institut catholique de Paris, désormais président de l’Institut pontifical de théologie Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille à Rome, Philippe Bordeyne, souligne de manière originale, en recourant à l’encyclique du pape François Fratelli tutti, l’importance pour le processus synodal des liens d’amitié sociale établis au niveau local, car ils permettent d’entrer concrètement et progressivement dans une fraternité à l’échelle universelle respectueuse des différences. Ce faisant, il est possible de mieux intégrer les familles et leurs savoir-faire dans la dynamique synodale, et d’ouvrir ces dernières à des pratiques susceptibles d’ouvrir leurs horizons. Cela peut aider à conjuguer le global et le local dans la réflexion sur la synodalité missionnaire, dans la mesure où la mission vise à rencontrer l’homme véritable et concret et qu’elle a besoin de repères solides pour ne pas céder aux idéologies fallacieuses et trop englobantes de l’amour universel (« Synodalité, famille et amitié sociale »).
8
Lui-même expert pour la méthodologie de la prochaine Assemblée générale du Synode des évêques de 2023, le professeur de théologie pratique de l’UCLouvain et directeur de la revue Lumen Vitae, Arnaud Join-Lambert, ouvre la deuxième grande section du numéro par un article sur la nouveauté ecclésiologique et pastorale apportée par les Synodes diocésains postconciliaires, à partir de la notion d’innovation religieuse en quatre étapes : proposition, diffusion, appropriation et adoption. Face aux résistances que rencontre souvent le processus d’adoption, et laisse ainsi un goût d’inachevé, il propose quatre pistes de réforme de nature théologique pour y remédier, quant aux consultations, aux modalités de la prise de décision, aux formes de la célébration et au style épiscopal synodal requis (« L’innovation inachevée du Synode diocésain postconciliaire »).
9
Élargissant l’horizon, la nouvelle sous-secrétaire générale du Synode des évêques, Nathalie Becquart, en compagnie du professeur à l’Université catholique Andrés Bello de Caracas et au Boston College, et expert au CELAM et à la CLAR (Confédération latinoaméricaine des religieux), Rafael Luciani, explore le premier niveau de synodalité qu’est l’Église locale dans son rapport avec son contexte culturel, et établit ainsi un panorama d’expériences synodales en différents continents (Synodes diocésains, assemblées nationales et conciles pléniers), selon leur dynamique d’inculturation. S’en dégage un modèle de l’Église universelle fidèle à Vatican II, en tant que communion d’Églises (« Synodalité et cultures : des expériences diverses selon les continents »).
10
Tous deux engagés au Département de la formation de l’Église catholique dans le canton de Vaud (Suisse romande), Gregory Solari et Philippe Becquart font état de « l’aventure » de la synodalité entreprise dans plusieurs équipes pastorales vaudoises, en en dégageant une conviction : la synodalité implique une conversion pastorale, une nouvelle manière d’être et d’agir, une correction du réflexe de délégation, en vertu de la grâce baptismale et du sensus fidei qui en découle, puisque ce sont les représentations de l’Église et des ministères qui conditionnent la possibilité même de la synodalité (« L’aventure de la synodalité. Échos d’une expérience de “chemin synodal” de l’Église catholique du canton de Vaud en Suisse »).
11
Quant au théologien en pastorale du Jura pastoral, Christophe Wermeille, il présente la manière singulière de vivre la synodalité en Suisse, marquée par la culture politique helvétique, son sens de la démocratie et du fort engagement citoyen. Il y décrit un certain nombre de choix prophétiques posés de longue date dans le diocèse de Bâle pour développer une organisation ecclésiale ouverte à une diversité d’engagements et à des responsabilités partagées : des ministères exercés par des laïcs, responsables parfois de communautés ou d’unités pastorales, potentiels bénéficiaires d’une institution liturgique et collaborant avec prêtres, diacres et laïcs au sein d’équipes pastorales, des conseils de réflexion au pouvoir décisionnel aux différents niveaux du diocèse (« Synodalité en Suisse : ou quand la démocratie s’invite en Église… »).
12
Puis, dans sa troisième et ultime séquence, le numéro achève son déroulé par un essai audacieux du chargé de cours et aumônier de clinique universitaire à l’UCLouvain, Claude Lichtert, qui, face au pessimisme ambiant et à la quête de pertinence ecclésiale, évoque un ancrage triple dans la théologie de l’Alliance pour retrouver cette crédibilité de l’Église : la lecture partagée de la Bible, la participation active à la préoccupation écologique sociétale et l’hospitalité mutuelle en toutes circonstances (« Trois suggestions pour une Église en déshérence et en quête de cohérence et de pertinence »).
13
Le numéro fait donc droit à la complémentarité des sensibilités et des approches culturelles (française, belge, germanique, italienne, helvétique et sud-américaine) qui essaient elles-mêmes de « syn-oder » (selon le néologisme suggéré par S. Currò).
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.367 - 370[article] Éditorial :Pour une synodalité missionnaire [texte imprimé] / François Xavier Amherdt (1957-....), Auteur . - 2022 . - p.367 - 370.
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Note de contenu : a synodalité ? Un effet de mode, passager selon certains. Qui va s’estomper lorsque l’actuel souverain pontife aura achevé sa course.
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En s’inscrivant dans le vaste processus de préparation mondiale catholique voulu par le pape François en vue du Synode des évêques consacré à cette thématique et finalement déplacé à octobre 2023 à Rome, le présent numéro souhaite établir que l’Église est synodale, ou elle n’est pas fidèle à son essence. Et que la synodalité, bien au-delà des seules questions de structure et de fonctionnement — qui ont bien sûr leur importance — constitue une caractéristique fondamentale de l’Église, pour son rayonnement missionnaire au service de la joie de l’Évangile. Le titre même de l’assemblée des évêques le signale très clairement : « Pour une Église synodale : communion, participation et mission ».
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Dans son indispensable contribution liminaire, Rossano Sala (UP salésienne, Rome), consulteur du Secrétariat général du Synode des évêques, invite à étudier le document de la Commission théologique internationale (CTI) de mars 2018, intitulé La synodalité dans la vie et la mission de l’Église, en guise de « carte de navigation » pour toute la phase préparatoire de la 16e Assemblée générale du Synode de 2023 et au-delà, en complémentarité avec la future (probable) exhortation apostolique post-synodale (« Un excellent point de départ : invitation à la lecture d’un récent document sur la synodalité »).
4
Il s’agit ensuite de dégager le paradigme scripturaire de la synodalité, sans le réduire à des processus démocratiques ou managériaux (Luc Forestier, Institut catholique de Paris). Outre l’assemblée de Jérusalem (Actes 15) et les premiers lieux de dialogue de l’Église primitive, c’est la genèse du canon des Écritures qui fournit l’exemple le plus probant et original d’une synodalité effective (« “Ecclesia peregrinans”. La nature biblique de la synodalité »).
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La synodalité et la participation des baptisés ne peuvent rester de simples leitmotivs et slogans extérieurs. C’est si elles sont réellement exercées et mises en œuvre sans la crainte de changements ainsi occasionnés qu’elles peuvent devenir le « style » intérieur de l’auto-compréhension ecclésiale. Salvatore Loiero (Faculté de théologie de Fribourg) plaide pour des processus effectifs d’apprentissage synodaux et participatifs, de manière à déployer une Église crédible, signe de la Bonne Nouvelle du « Dieu très humain », comme le dit Edward Schillebeeckx (« Synodalité et participation. Possibles réalités ou réelles possibilités de l’Église »).
6
Dans une perspective phénoménologique et anthropologique prometteuse, Salvatore Currò (UP salésienne, Rome) met l’accent sur la préposition « avec » du terme sun-odos. Comme dans le mot même de « syn-ode », l’« avec » nous précède au niveau existentiel, sensible et corporel comme provocation continuelle à la réconciliation avec les autres, avec soi-même et avec Dieu. Nous y répondons par une pratique de l’action de grâce, de l’abandon et de la confiance qui précèdent l’activité. D’où la nécessité de cheminer ensemble, de « syn-oder », pour relever ce défi humain, culturel et ecclésial (« Le défi de l’“avec” ou la pratique de “syn-oder” »).
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Fort de sa double expérience en tant qu’expert lors des Synodes de 2015 et de 2018, l’ancien recteur de l’Institut catholique de Paris, désormais président de l’Institut pontifical de théologie Jean-Paul II pour les sciences du mariage et de la famille à Rome, Philippe Bordeyne, souligne de manière originale, en recourant à l’encyclique du pape François Fratelli tutti, l’importance pour le processus synodal des liens d’amitié sociale établis au niveau local, car ils permettent d’entrer concrètement et progressivement dans une fraternité à l’échelle universelle respectueuse des différences. Ce faisant, il est possible de mieux intégrer les familles et leurs savoir-faire dans la dynamique synodale, et d’ouvrir ces dernières à des pratiques susceptibles d’ouvrir leurs horizons. Cela peut aider à conjuguer le global et le local dans la réflexion sur la synodalité missionnaire, dans la mesure où la mission vise à rencontrer l’homme véritable et concret et qu’elle a besoin de repères solides pour ne pas céder aux idéologies fallacieuses et trop englobantes de l’amour universel (« Synodalité, famille et amitié sociale »).
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Lui-même expert pour la méthodologie de la prochaine Assemblée générale du Synode des évêques de 2023, le professeur de théologie pratique de l’UCLouvain et directeur de la revue Lumen Vitae, Arnaud Join-Lambert, ouvre la deuxième grande section du numéro par un article sur la nouveauté ecclésiologique et pastorale apportée par les Synodes diocésains postconciliaires, à partir de la notion d’innovation religieuse en quatre étapes : proposition, diffusion, appropriation et adoption. Face aux résistances que rencontre souvent le processus d’adoption, et laisse ainsi un goût d’inachevé, il propose quatre pistes de réforme de nature théologique pour y remédier, quant aux consultations, aux modalités de la prise de décision, aux formes de la célébration et au style épiscopal synodal requis (« L’innovation inachevée du Synode diocésain postconciliaire »).
9
Élargissant l’horizon, la nouvelle sous-secrétaire générale du Synode des évêques, Nathalie Becquart, en compagnie du professeur à l’Université catholique Andrés Bello de Caracas et au Boston College, et expert au CELAM et à la CLAR (Confédération latinoaméricaine des religieux), Rafael Luciani, explore le premier niveau de synodalité qu’est l’Église locale dans son rapport avec son contexte culturel, et établit ainsi un panorama d’expériences synodales en différents continents (Synodes diocésains, assemblées nationales et conciles pléniers), selon leur dynamique d’inculturation. S’en dégage un modèle de l’Église universelle fidèle à Vatican II, en tant que communion d’Églises (« Synodalité et cultures : des expériences diverses selon les continents »).
10
Tous deux engagés au Département de la formation de l’Église catholique dans le canton de Vaud (Suisse romande), Gregory Solari et Philippe Becquart font état de « l’aventure » de la synodalité entreprise dans plusieurs équipes pastorales vaudoises, en en dégageant une conviction : la synodalité implique une conversion pastorale, une nouvelle manière d’être et d’agir, une correction du réflexe de délégation, en vertu de la grâce baptismale et du sensus fidei qui en découle, puisque ce sont les représentations de l’Église et des ministères qui conditionnent la possibilité même de la synodalité (« L’aventure de la synodalité. Échos d’une expérience de “chemin synodal” de l’Église catholique du canton de Vaud en Suisse »).
11
Quant au théologien en pastorale du Jura pastoral, Christophe Wermeille, il présente la manière singulière de vivre la synodalité en Suisse, marquée par la culture politique helvétique, son sens de la démocratie et du fort engagement citoyen. Il y décrit un certain nombre de choix prophétiques posés de longue date dans le diocèse de Bâle pour développer une organisation ecclésiale ouverte à une diversité d’engagements et à des responsabilités partagées : des ministères exercés par des laïcs, responsables parfois de communautés ou d’unités pastorales, potentiels bénéficiaires d’une institution liturgique et collaborant avec prêtres, diacres et laïcs au sein d’équipes pastorales, des conseils de réflexion au pouvoir décisionnel aux différents niveaux du diocèse (« Synodalité en Suisse : ou quand la démocratie s’invite en Église… »).
12
Puis, dans sa troisième et ultime séquence, le numéro achève son déroulé par un essai audacieux du chargé de cours et aumônier de clinique universitaire à l’UCLouvain, Claude Lichtert, qui, face au pessimisme ambiant et à la quête de pertinence ecclésiale, évoque un ancrage triple dans la théologie de l’Alliance pour retrouver cette crédibilité de l’Église : la lecture partagée de la Bible, la participation active à la préoccupation écologique sociétale et l’hospitalité mutuelle en toutes circonstances (« Trois suggestions pour une Église en déshérence et en quête de cohérence et de pertinence »).
13
Le numéro fait donc droit à la complémentarité des sensibilités et des approches culturelles (française, belge, germanique, italienne, helvétique et sud-américaine) qui essaient elles-mêmes de « syn-oder » (selon le néologisme suggéré par S. Currò).
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Titre : Un excellent point de départ : Invitation à la lecture d’un récent document sur la synodalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Sala Rossano, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.371-378 Langues : Français (fre) Résumé : Le but de cet article est d’inviter à la lecture et à l’étude du document de la Commission théologique internationale du 2 mars 2018, intitulé La synodalité dans la vie et la mission de l’Église. Ce document doit être considéré comme une « carte de navigation » pour la phase préparatoire de la 16e Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques sur le thème Pour une Église synodale : communion, participation et mission (octobre 2023). Parler aujourd’hui de synodalité, c’est aborder un thème très articulé et complexe. C’est pourquoi il sera très utile de retrouver dans ce précieux document quelques « points fixes » permettant de repartir tant pour une réflexion fructueuse que pour une pratique cohérente, évitant ainsi le risque de dispersion toujours possible à une époque comme la nôtre, marquée par des changements rapides et donc par une grande incertitude.
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.371-378[article] Un excellent point de départ : Invitation à la lecture d’un récent document sur la synodalité [texte imprimé] / Sala Rossano, Auteur . - 2022 . - p.371-378.
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Résumé : Le but de cet article est d’inviter à la lecture et à l’étude du document de la Commission théologique internationale du 2 mars 2018, intitulé La synodalité dans la vie et la mission de l’Église. Ce document doit être considéré comme une « carte de navigation » pour la phase préparatoire de la 16e Assemblée générale ordinaire du Synode des évêques sur le thème Pour une Église synodale : communion, participation et mission (octobre 2023). Parler aujourd’hui de synodalité, c’est aborder un thème très articulé et complexe. C’est pourquoi il sera très utile de retrouver dans ce précieux document quelques « points fixes » permettant de repartir tant pour une réflexion fructueuse que pour une pratique cohérente, évitant ainsi le risque de dispersion toujours possible à une époque comme la nôtre, marquée par des changements rapides et donc par une grande incertitude. Réservation
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Titre : Ecclesia peregrinans : La matrice biblique de la synodalité Type de document : texte imprimé Auteurs : Luc Forestier, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.379 - 385 Langues : Français (fre) Résumé : La confusion entre synodalité et démocratie ou management oblige à chercher les caractéristiques des processus synodaux dans l’Église. Plus que l’Assemblée de Jérusalem (Ac 15) ou que la documentation éparse sur les premiers lieux de dialogue dans les Églises des premiers siècles, c’est le canon biblique qui constitue la trace la plus évidente d’une synodalité originelle et originale.
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.379 - 385[article] Ecclesia peregrinans : La matrice biblique de la synodalité [texte imprimé] / Luc Forestier, Auteur . - 2022 . - p.379 - 385.
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Résumé : La confusion entre synodalité et démocratie ou management oblige à chercher les caractéristiques des processus synodaux dans l’Église. Plus que l’Assemblée de Jérusalem (Ac 15) ou que la documentation éparse sur les premiers lieux de dialogue dans les Églises des premiers siècles, c’est le canon biblique qui constitue la trace la plus évidente d’une synodalité originelle et originale. Réservation
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Titre : Synodalité et participation – possibles réalités ou réelles possibilités de l’Église ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Salvatore Loiero, Auteur ; François Xavier Amherdt (1957-....), Traducteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.387 à 395 Langues : Français (fre) Résumé : Synodalité et participation ne sont pas simplement présentes et données, elles doivent être exercées. Cela touche toutes les institutions et donc également l’Église. Des processus d’apprentissage synodaux et participatifs signifient toutefois également que l’Église doit se départir de la peur du changement qui risque de concentrer la synodalité et la participation seulement sur peu de choses, voire qui conduit à des changements uniquement extérieurs. Au contraire, si la synodalité et la participation deviennent le « style » intérieur de la compréhension qu’a l’Église d’elle-même et qu’ont ceux qui assument une responsabilité dans l’Église, de réelles possibilités sont libérées afin de constituer une Église crédible qui soit un « signe » véritable de l’Évangile du « Deus humanissimus » (Edward Schillebeeckx).
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.387 à 395[article] Synodalité et participation – possibles réalités ou réelles possibilités de l’Église ? [texte imprimé] / Salvatore Loiero, Auteur ; François Xavier Amherdt (1957-....), Traducteur . - 2022 . - p.387 à 395.
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Résumé : Synodalité et participation ne sont pas simplement présentes et données, elles doivent être exercées. Cela touche toutes les institutions et donc également l’Église. Des processus d’apprentissage synodaux et participatifs signifient toutefois également que l’Église doit se départir de la peur du changement qui risque de concentrer la synodalité et la participation seulement sur peu de choses, voire qui conduit à des changements uniquement extérieurs. Au contraire, si la synodalité et la participation deviennent le « style » intérieur de la compréhension qu’a l’Église d’elle-même et qu’ont ceux qui assument une responsabilité dans l’Église, de réelles possibilités sont libérées afin de constituer une Église crédible qui soit un « signe » véritable de l’Évangile du « Deus humanissimus » (Edward Schillebeeckx). Réservation
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Titre : Le défi de l’« avec » ou la pratique de « syn-oder » Type de document : texte imprimé Auteurs : Salvatore Currò, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.396 - 402 Langues : Français (fre) Résumé : Le défi de la synodalité est un défi ecclésial, mais aussi un défi culturel et existentiel (et anthropologique). Notre époque est marquée par la fatigue, mais aussi par la nécessité de cheminer ensemble. L’existence de tous est traversée par le défi de l’« avec ». Cette préposition (« avec ») se réfère au niveau existentiel de la « pré-position », c’est-à-dire du pré-conscient, de la sensibilité et de la corporéité, qui précèdent la (prise de) « position ». L’« avec » nous précède ; il est une provocation continuelle à la réconciliation avec les autres, avec soi-même et aussi avec Dieu. Nous répondons au défi de l’« avec » grâce à une pratique marquée par un abandon continu au lien qui nous précède et par une passivité (à l’action de la grâce) qui précède l’activité. Une telle pratique est appelée, ici, à travers un néologisme, la pratique du « syn-oder ».
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.396 - 402[article] Le défi de l’« avec » ou la pratique de « syn-oder » [texte imprimé] / Salvatore Currò, Auteur . - 2022 . - p.396 - 402.
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Résumé : Le défi de la synodalité est un défi ecclésial, mais aussi un défi culturel et existentiel (et anthropologique). Notre époque est marquée par la fatigue, mais aussi par la nécessité de cheminer ensemble. L’existence de tous est traversée par le défi de l’« avec ». Cette préposition (« avec ») se réfère au niveau existentiel de la « pré-position », c’est-à-dire du pré-conscient, de la sensibilité et de la corporéité, qui précèdent la (prise de) « position ». L’« avec » nous précède ; il est une provocation continuelle à la réconciliation avec les autres, avec soi-même et aussi avec Dieu. Nous répondons au défi de l’« avec » grâce à une pratique marquée par un abandon continu au lien qui nous précède et par une passivité (à l’action de la grâce) qui précède l’activité. Une telle pratique est appelée, ici, à travers un néologisme, la pratique du « syn-oder ». Réservation
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Titre : Synodalité, familles et amitié sociale Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Bordeyne (1959-....), Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.403-410 Langues : Français (fre) Résumé : Dans la perspective du Synode de 2023 sur la synodalité, l’encyclique Fratelli tutti nous éclaire sur l’importance des liens d’amitié sociale tissés à l’échelon local, car ils font entrer concrètement et progressivement dans une fraternité plus universelle, ouverte aux différences. Cette approche peut aider à améliorer les processus synodaux et à mieux intégrer le savoir-faire des familles tout en initiant ces dernières à des pratiques bienfaisantes d’écoute et de dialogue.
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Résumé : Dans la perspective du Synode de 2023 sur la synodalité, l’encyclique Fratelli tutti nous éclaire sur l’importance des liens d’amitié sociale tissés à l’échelon local, car ils font entrer concrètement et progressivement dans une fraternité plus universelle, ouverte aux différences. Cette approche peut aider à améliorer les processus synodaux et à mieux intégrer le savoir-faire des familles tout en initiant ces dernières à des pratiques bienfaisantes d’écoute et de dialogue. Réservation
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Titre : L’innovation inachevée du synode diocésain postconciliaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Join-Lambert, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 411-420 Langues : Français (fre) Résumé : Les synodes diocésains postconciliaires sont très différents de leurs prédécesseurs. On peut parler à leur propos de discontinuité, ou même de rupture. Afin d’analyser leur nouveauté ecclésiologique et pastorale, l’auteur recourt à la notion d’innovation religieuse, suivant quatre phases : proposition, diffusion, appropriation et adoption. Il met en évidence le fait que la quatrième et dernière phase du processus d’innovation butte sur plusieurs obstacles. Cela lui permet d’ouvrir en finale une approche plus théologique et prospective, où émerge le principe ecclésiologique de synodalité. L’enjeu théologique de cette réflexion est d’identifier, de caractériser et de dépasser la tension entre créativité et imagination, afin que l’Église catholique avance avec confiance et fécondité sur le « chemin de la synodalité [qui] est justement celui que Dieu attend de l’Église du troisième millénaire » (pape François).
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p. 411-420[article] L’innovation inachevée du synode diocésain postconciliaire [texte imprimé] / Arnaud Join-Lambert, Auteur . - 2022 . - p. 411-420.
Langues : Français (fre)
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p. 411-420
Résumé : Les synodes diocésains postconciliaires sont très différents de leurs prédécesseurs. On peut parler à leur propos de discontinuité, ou même de rupture. Afin d’analyser leur nouveauté ecclésiologique et pastorale, l’auteur recourt à la notion d’innovation religieuse, suivant quatre phases : proposition, diffusion, appropriation et adoption. Il met en évidence le fait que la quatrième et dernière phase du processus d’innovation butte sur plusieurs obstacles. Cela lui permet d’ouvrir en finale une approche plus théologique et prospective, où émerge le principe ecclésiologique de synodalité. L’enjeu théologique de cette réflexion est d’identifier, de caractériser et de dépasser la tension entre créativité et imagination, afin que l’Église catholique avance avec confiance et fécondité sur le « chemin de la synodalité [qui] est justement celui que Dieu attend de l’Église du troisième millénaire » (pape François). Réservation
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Titre : Synodalité et cultures : des expériences synodales diverses selon les continents Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Becquart, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.421 - 430 Langues : Français (fre) Résumé : Le pape François nous a invités à considérer la synodalité comme la manière dont l’Église est appelée à vivre et mettre en œuvre sa mission en ce troisième millénaire. La Commission théologique internationale soutient que le premier niveau de synodalité a lieu dans l’Église particulière, où les réalités socioculturelles dessinent le visage particulier de la vie ecclésiale, façonnant ses relations et ses structures. Cet article se situe dans ce contexte. Il propose en premier lieu une réflexion sur la relation entre les Églises locales et les cultures à la lumière de la synodalité en tant que dynamique qui reconfigure l’identité et la mission ecclésiale dans chaque lieu. Puis il dessine un rapide panorama d’expériences synodales diverses en différents continents, telles que les synodes diocésains, assemblées nationales et conciles pléniers qui témoignent d’une dynamique d’inculturation prenant en compte l’histoire et la culture locale. Ainsi, la synodalité intègre et approfondit l’ecclésiologie des Églises locales de Vatican II : le modèle de l’Église en tant que communion d’Églises.
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p.421 - 430[article] Synodalité et cultures : des expériences synodales diverses selon les continents [texte imprimé] / Nathalie Becquart, Auteur . - 2022 . - p.421 - 430.
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Résumé : Le pape François nous a invités à considérer la synodalité comme la manière dont l’Église est appelée à vivre et mettre en œuvre sa mission en ce troisième millénaire. La Commission théologique internationale soutient que le premier niveau de synodalité a lieu dans l’Église particulière, où les réalités socioculturelles dessinent le visage particulier de la vie ecclésiale, façonnant ses relations et ses structures. Cet article se situe dans ce contexte. Il propose en premier lieu une réflexion sur la relation entre les Églises locales et les cultures à la lumière de la synodalité en tant que dynamique qui reconfigure l’identité et la mission ecclésiale dans chaque lieu. Puis il dessine un rapide panorama d’expériences synodales diverses en différents continents, telles que les synodes diocésains, assemblées nationales et conciles pléniers qui témoignent d’une dynamique d’inculturation prenant en compte l’histoire et la culture locale. Ainsi, la synodalité intègre et approfondit l’ecclésiologie des Églises locales de Vatican II : le modèle de l’Église en tant que communion d’Églises. Réservation
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Titre : L’Aventure de la synodalité : Échos d’une expérience de « chemin synodal » dans l’Église catholique du canton de Vaud en Suisse Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Becquart, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 431 - 437 Langues : Français (fre) Résumé : « Aventure de la synodalité », parce que la synodalité de l’Église implique d’avancer vers une forme renouvelée de responsabilité des baptisés dans la gouvernance et l’agir pastoral. « Aventure », parce que cet article présente brièvement une expérience encore inachevée, à l’issue incertaine, conduite avec quatre équipes pastorales de l’Église catholique dans le canton de Vaud (Suisse). Une conviction émerge néanmoins : les « représentations » de l’Église et des ministères conditionnent la possibilité de la synodalité. Davantage qu’une réforme structurelle, la synodalité est une conversion pastorale, donc vitale : c’est une nouvelle manière d’être et d’agir. Autrement dit, c’est l’éthos catholique, habitué à un réflexe de délégation, qui demande à être corrigé, en vertu du baptême et du sensus fidei dérivant de la grâce baptismale.
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p. 431 - 437[article] L’Aventure de la synodalité : Échos d’une expérience de « chemin synodal » dans l’Église catholique du canton de Vaud en Suisse [texte imprimé] / Philippe Becquart, Auteur . - 2022 . - p. 431 - 437.
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Résumé : « Aventure de la synodalité », parce que la synodalité de l’Église implique d’avancer vers une forme renouvelée de responsabilité des baptisés dans la gouvernance et l’agir pastoral. « Aventure », parce que cet article présente brièvement une expérience encore inachevée, à l’issue incertaine, conduite avec quatre équipes pastorales de l’Église catholique dans le canton de Vaud (Suisse). Une conviction émerge néanmoins : les « représentations » de l’Église et des ministères conditionnent la possibilité de la synodalité. Davantage qu’une réforme structurelle, la synodalité est une conversion pastorale, donc vitale : c’est une nouvelle manière d’être et d’agir. Autrement dit, c’est l’éthos catholique, habitué à un réflexe de délégation, qui demande à être corrigé, en vertu du baptême et du sensus fidei dérivant de la grâce baptismale. Réservation
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Titre : Synodalité en Suisse : ou quand la démocratie s’invite en Église… Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Wermeille, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 438 - 445 Langues : Français (fre) Résumé : À partir de la culture politique suisse, marquée par une démocratie vivante et un fort engagement citoyen, l’auteur présente la manière singulière de vivre la synodalité en Suisse. Il y décrit notamment les choix posés de longue date dans le diocèse de Bâle pour développer une organisation ecclésiale ouverte à une diversité d’engagements et à des responsabilités partagées.
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4) . - p. 438 - 445[article] Synodalité en Suisse : ou quand la démocratie s’invite en Église… [texte imprimé] / Christophe Wermeille, Auteur . - 2022 . - p. 438 - 445.
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Résumé : À partir de la culture politique suisse, marquée par une démocratie vivante et un fort engagement citoyen, l’auteur présente la manière singulière de vivre la synodalité en Suisse. Il y décrit notamment les choix posés de longue date dans le diocèse de Bâle pour développer une organisation ecclésiale ouverte à une diversité d’engagements et à des responsabilités partagées. Réservation
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Titre : La catéchèse en Belgique francophone : Retour sur une histoire récente (1997-2021), regards vers son avenir Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Résumé : L’arrivée du nouveau Directoire pour la catéchèse en 2020 a été, pour peu qu’on puisse déjà en juger, une bonne nouvelle à l’échelle de l’Église universelle. Les premiers échos qui ont suivi sa présentation à Rome en juin 2020, les premiers articles dans la presse et dans les revues ont toujours salué la qualité du contenu de ce document, sa très vive attention aux défis de notre époque pour la proposition de la foi et ont aisément trouvé dans ce texte l’influence, directe ou indirecte, des réflexions du pape François sur l’annonce missionnaire, sur l’attention aux plus défavorisés ou encore sur l’importance d’être une Église en sortie.
En Belgique aussi, ce texte a reçu immédiatement un accueil positif.
Tout ce texte, au demeurant fort long, fourmille de conseils, de recommandations et de directives pour l’ensemble des démarches liées de près ou de loin à la vie catéchétique sur le terrain : il parle des catéchistes, de leur recrutement et de leur formation, il parle des méthodes à privilégier, des contenus à mettre en priorité au programme de nos parcours, il décrit des lieux à investir, il suggère des collaborations précises avec d’autres services de l’Église… On pourrait allonger cette liste.
Il ne faut pas s’étonner de ceci : c’est précisément le but de tout Directoire que de « mettre à jour, adapter, ordonner la catéchèse en tenant compte des évolutions, des recherches et des enseignements des papes et du Magistère ». Et ceci devient très concret au chapitre 12, quand le texte décrit comment il conçoit l’organisation de la catéchèse à l’échelle des diocèses…Note de contenu : Varia
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4)[article] La catéchèse en Belgique francophone : Retour sur une histoire récente (1997-2021), regards vers son avenir [texte imprimé] . - 2022.
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Résumé : L’arrivée du nouveau Directoire pour la catéchèse en 2020 a été, pour peu qu’on puisse déjà en juger, une bonne nouvelle à l’échelle de l’Église universelle. Les premiers échos qui ont suivi sa présentation à Rome en juin 2020, les premiers articles dans la presse et dans les revues ont toujours salué la qualité du contenu de ce document, sa très vive attention aux défis de notre époque pour la proposition de la foi et ont aisément trouvé dans ce texte l’influence, directe ou indirecte, des réflexions du pape François sur l’annonce missionnaire, sur l’attention aux plus défavorisés ou encore sur l’importance d’être une Église en sortie.
En Belgique aussi, ce texte a reçu immédiatement un accueil positif.
Tout ce texte, au demeurant fort long, fourmille de conseils, de recommandations et de directives pour l’ensemble des démarches liées de près ou de loin à la vie catéchétique sur le terrain : il parle des catéchistes, de leur recrutement et de leur formation, il parle des méthodes à privilégier, des contenus à mettre en priorité au programme de nos parcours, il décrit des lieux à investir, il suggère des collaborations précises avec d’autres services de l’Église… On pourrait allonger cette liste.
Il ne faut pas s’étonner de ceci : c’est précisément le but de tout Directoire que de « mettre à jour, adapter, ordonner la catéchèse en tenant compte des évolutions, des recherches et des enseignements des papes et du Magistère ». Et ceci devient très concret au chapitre 12, quand le texte décrit comment il conçoit l’organisation de la catéchèse à l’échelle des diocèses…Note de contenu : Varia Réservation
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Titre : Contextualité et synodalité. Le Synode sur l’Amazonie et ses suites Type de document : texte imprimé Auteurs : François Xavier Amherdt (1957-....), Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Note de contenu : Chronique
in Lumen vitae > Vol.LXXVI/4 (Octobre-Novembre-Décembre 2021-4)[article] Contextualité et synodalité. Le Synode sur l’Amazonie et ses suites [texte imprimé] / François Xavier Amherdt (1957-....), Auteur . - 2022.
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