Titre : |
Une autre vie est possible |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Claude Guillebaud, Auteur |
Editeur : |
Paris : L'Iconoclaste |
Année de publication : |
2012 |
Importance : |
1 vol. (213 p.) |
Format : |
19 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-913366-46-6 |
Mots-clés : |
Changement social espérance,désespérance,avenir, |
Résumé : |
Dans cet essai bref et étincelant, Jean-Claude Guillebaud s’insurge contre la désespérance qui habite nos sociétés. Il nous convainc que, décidément, l’avenir a besoin de nous. Ce texte de combat est l’un des plus personnels qu’il ait écrit.
"J’aimerais trouver les mots pour dire à quel point m’afflige la désespérance contemporaine. Elle est un gaz toxique que nous respirons chaque jour, sans réfléchir. Or, la réalité n’est jamais aussi sombre. Ombres et lumières y sont toujours mêlées. L’espérance n’implique donc ni aveuglement ni sotte crédulité. Elle est lucide, mais têtue. J’y repense chaque matin à l’aube, quand je vois rosir le ciel au-dessus des toits de Paris ou monter la lumière derrière la forêt, chez moi, en Charente… L’espérance a partie liée avec cet infatigable recommencement du matin. Elle vise l’avenir mais se vit aujourd’hui, les yeux ouverts. Avec passion." |
Une autre vie est possible [texte imprimé] / Jean-Claude Guillebaud, Auteur . - Paris : L'Iconoclaste, 2012 . - 1 vol. (213 p.) ; 19 cm. ISBN : 978-2-913366-46-6
Mots-clés : |
Changement social espérance,désespérance,avenir, |
Résumé : |
Dans cet essai bref et étincelant, Jean-Claude Guillebaud s’insurge contre la désespérance qui habite nos sociétés. Il nous convainc que, décidément, l’avenir a besoin de nous. Ce texte de combat est l’un des plus personnels qu’il ait écrit.
"J’aimerais trouver les mots pour dire à quel point m’afflige la désespérance contemporaine. Elle est un gaz toxique que nous respirons chaque jour, sans réfléchir. Or, la réalité n’est jamais aussi sombre. Ombres et lumières y sont toujours mêlées. L’espérance n’implique donc ni aveuglement ni sotte crédulité. Elle est lucide, mais têtue. J’y repense chaque matin à l’aube, quand je vois rosir le ciel au-dessus des toits de Paris ou monter la lumière derrière la forêt, chez moi, en Charente… L’espérance a partie liée avec cet infatigable recommencement du matin. Elle vise l’avenir mais se vit aujourd’hui, les yeux ouverts. Avec passion." |
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