Titre : |
Marxisme et christianisme |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jules Girardi (1926-2012), Auteur ; Roger Garaudy (1913-2012), Auteur de la postface, du colophon, etc. |
Editeur : |
Paris : Desclée |
Année de publication : |
1968 |
Collection : |
L'athéisme interroge |
Importance : |
1 vol. (316 p.) |
Présentation : |
couv. en coul. |
Format : |
21 cm |
Note générale : |
traduit de l'italien: "Marxismo e Cristianesimo" |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Italien (ita) |
Mots-clés : |
Christianisme -- Analyse marxiste |
Résumé : |
En dépit de quelques dialogues épisodiques, le marxisme et le christianisme se défient depuis plus d'un siècle. Si l'affrontement demeure la grande affaire de notre temps, il semble qu'on ne puisse sortir de l'antagonisme, fixé à l'athéisme formel de Marx, que par l'indifférence réciproque ou la conciliation confuse et éphémère.
Un dialogue ne pouvait sérieusement s'engager sans que les différences, la singularité du marxisme et du christianisme soient résolument, exorcisant les préjugés et les images figées, on pourrait tenter de dire les proximités réelles ou même les rapprochements possibles.
C'est ce pas novateur qu'accomplit Jules Girardi, avec toute la liberté requise par l'inflexible injonction du vrai et du faux. Il tente d'inscrire le débat dans le commun langage de la rationalité qu'il ne cesse de vivifier d'une volonté passionnée de fraternité restaurée. |
Marxisme et christianisme [texte imprimé] / Jules Girardi (1926-2012), Auteur ; Roger Garaudy (1913-2012), Auteur de la postface, du colophon, etc. . - Paris : Desclée, 1968 . - 1 vol. (316 p.) : couv. en coul. ; 21 cm. - ( L'athéisme interroge) . traduit de l'italien: "Marxismo e Cristianesimo" Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita)
Mots-clés : |
Christianisme -- Analyse marxiste |
Résumé : |
En dépit de quelques dialogues épisodiques, le marxisme et le christianisme se défient depuis plus d'un siècle. Si l'affrontement demeure la grande affaire de notre temps, il semble qu'on ne puisse sortir de l'antagonisme, fixé à l'athéisme formel de Marx, que par l'indifférence réciproque ou la conciliation confuse et éphémère.
Un dialogue ne pouvait sérieusement s'engager sans que les différences, la singularité du marxisme et du christianisme soient résolument, exorcisant les préjugés et les images figées, on pourrait tenter de dire les proximités réelles ou même les rapprochements possibles.
C'est ce pas novateur qu'accomplit Jules Girardi, avec toute la liberté requise par l'inflexible injonction du vrai et du faux. Il tente d'inscrire le débat dans le commun langage de la rationalité qu'il ne cesse de vivifier d'une volonté passionnée de fraternité restaurée. |
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