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Titre : La chair et la lumière Type de document : texte imprimé Auteurs : Birgin, Christian, Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 2001 Collection : Littérature ouverte, ISSN 1275-1774 Importance : 1 vol. (150 p.) Présentation : couv ill en couleurs Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-220-04904-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : Littérature, biographie, La Tour, Georges de (1593-1652) Résumé : « Je ne travaillais plus que rarement. Je m'attardais le soir venu sur une couleur, un feu qui pétillait dans l'âtre. J'aurais aimé que ce fussent les remuements d'une âme en devenir. Je songeais ainsi au pourpre et au byssus. À quelques pages bien écrites. Aux paroles vaines. Je songeais encore - et c'était là, assurément, une chose folle -, je songeais, comme malgré moi, que dans le silence d'une flamme longuement observée, dans le silence de toutes ces lumières qui m'entouraient, derrière ces brasiers qui lentement se consumaient, se dressait, impassible, souverain : l'invincible. »
Dans ce récit à la sensibilité tendue, Christian Birgin redonne vie à la figure du peintre Georges de La Tour et au mystère d'une oeuvre hantée par le spirituel.La chair et la lumière [texte imprimé] / Birgin, Christian, Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 2001 . - 1 vol. (150 p.) : couv ill en couleurs ; 21 cm. - (Littérature ouverte, ISSN 1275-1774) .
ISBN : 978-2-220-04904-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Littérature, biographie, La Tour, Georges de (1593-1652) Résumé : « Je ne travaillais plus que rarement. Je m'attardais le soir venu sur une couleur, un feu qui pétillait dans l'âtre. J'aurais aimé que ce fussent les remuements d'une âme en devenir. Je songeais ainsi au pourpre et au byssus. À quelques pages bien écrites. Aux paroles vaines. Je songeais encore - et c'était là, assurément, une chose folle -, je songeais, comme malgré moi, que dans le silence d'une flamme longuement observée, dans le silence de toutes ces lumières qui m'entouraient, derrière ces brasiers qui lentement se consumaient, se dressait, impassible, souverain : l'invincible. »
Dans ce récit à la sensibilité tendue, Christian Birgin redonne vie à la figure du peintre Georges de La Tour et au mystère d'une oeuvre hantée par le spirituel.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV504292 XXVIII14 BIR Livre Bibliothèque UCM Littérature Libre accès
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Titre : Un peu de mort sur le visage : La traversée d'une femme Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriel Ringlet (1944-....), Auteur Editeur : Paris : Desclée de Brouwer Année de publication : 1997 Collection : Littérature ouverte, ISSN 1275-1774 Importance : 1 vol. (151 p.) Présentation : couv. ill. en coul. Format : 21 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-220-04106-3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Littérature - Théologie Résumé : Le visage est notre royaume, un pays où alternent ombres et clartés, où se reflètent la joie et la souffrance. En puisant à la fois à la source biblique et aux mots des poètes, Gabriel Ringlet médite sur cette double dimension de l'existence humaine. Il l'évoque en particulier à partir de figures de femmes, de toutes celles qui, aujourd'hui, dans le monde, soulèvent les pierres de tant de tombeaux. Comme la fleur d'amandier, elles résistent. Arrachées, elles repoussent. Déracinées, elles refleurissent. Avec un peu de mort sur le visage, elles annoncent le retour du printemps. Un peu de mort sur le visage : La traversée d'une femme [texte imprimé] / Gabriel Ringlet (1944-....), Auteur . - Paris : Desclée de Brouwer, 1997 . - 1 vol. (151 p.) : couv. ill. en coul. ; 21 cm. - (Littérature ouverte, ISSN 1275-1774) .
ISBN : 978-2-220-04106-3
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Littérature - Théologie Résumé : Le visage est notre royaume, un pays où alternent ombres et clartés, où se reflètent la joie et la souffrance. En puisant à la fois à la source biblique et aux mots des poètes, Gabriel Ringlet médite sur cette double dimension de l'existence humaine. Il l'évoque en particulier à partir de figures de femmes, de toutes celles qui, aujourd'hui, dans le monde, soulèvent les pierres de tant de tombeaux. Comme la fleur d'amandier, elles résistent. Arrachées, elles repoussent. Déracinées, elles refleurissent. Avec un peu de mort sur le visage, elles annoncent le retour du printemps. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité OUV556358 XXVIII16 RIN Livre Bibliothèque UCM Littérature Libre accès
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